17 九月, 2005


8222 km plus tard…


Flot d’occidentaux se déversant sur l’Empire du milieu par une journée trop ensoleillée pour passer inaperçue. Les yeux encore gonflés des adieux de la veille, les membres engourdis par le résultat des travaux du Boeing 777, le flux m’emporte.
Je suis intacte, mes bagages aussi, on m’attend à la sortie.
Je n’ai ni problèmes psychiatriques graves, ni Sida, ni paludisme, ni fièvre, ni de traitement contre la rage, je ne transporte pas de fortune sur moi, je ne viens pas pour implanter des bactéries en Chine, ni pour y vendre des produits interdits par la loi, ou réprouvés par la morale… c'est bon, je peux entrer sur le territoire.
En écoutant Fabrice, je souris en pensant à toutes les recommandations que l’on m’a faite avant le départ. La Chine change. Si je veux une baguette de pain français ou du champagne, manger allemand ou irlandais, tout est là, à chaque rue ; des supermarchés modernes, des produits de bonnes qualité, un éventail de prix extraordinaire.
Au premier regard, Pékin, c'est comme Paris sans code de la route.
(photo: moi -vers Dongzhimen)

1 Comments:

Blogger Mary said...

J'ai trouvé un moyen de voir quelques messages... j'espère que ça ne perd pas son charme!

周二 10月 18, 01:21:00 上午 2005  

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